Nuit, nuit douce, nuit douloureuse, pleine de démence, de malice et de folie...nuit qui passe trop vite et puis encore une nuit dont on ne voit pas le bout à cause des images qui défilent comme un train assénant un coup à chaque défilement.
et des questions se succèdent : pourquoi quand quelqu'un qu'on veut s'en va, on essaye de le retenir avec les mains? Croyons nous ainsi empêcher son cœur de s'éloigner?
Foutaises, le cœur a des jambes qu'on ne voit pas et qui courent vite ... et Lui part en disant que je le lui paierai... Payer!! mais ce sont des absurdités, les émotions ne sont pas une dette à rembourser, ils ne font pas crédit et n'acceptent les ristournes.
et encore des questions, maintenant qu'est ce qu'on fait, où on va et pourquoi? Mais pourquoi vouloir tout contrôler.. serait il un réprimeur des émotions, un amputé des folies..
Folies.. aussi fortes que tous les moments partagés qui font penser à un éclat de milles petites étoiles et des mots reviennent en charge incessamment:
C'e un principio di allegria Fra gli ostacoli del cuore Che mi voglio meritare
et la nuit finit par laisser place à une aube prometteuse de milles petits bonheur dans un quotidien tranquille, fait d'éclats de rire en permanence, de confessions entre deux crédits et des petites confiseries qui finissent toujours par mettre hors du jeu les résolutions d'arrêt faite tous les jours...