jeudi 27 décembre 2007

Parler pour ne rien dire

Mesdames et messieurs ... je vous signale tout de suite que je vais

parler pour ne rien dire .

Oh ! je sais !

Vous pensez :

<<>>

Evidemment ! Mais c'est trop facile! ... c'est trop facile !

Vous voudriez que je fasse comme tout ceux qui n'ont rien à

dire et qui le garde pour eux ?

Eh bien non ! Mesdames et messieurs, moi, lorsque je n'ai rien

à dire, je veux qu'on le sache !

je veux en faire profiter les autres !

Et si, vous-mêmes, mesdames et messieurs, vous n'avez à rien dire

, eh bien, on en parle, on en discute !

Je ne suis pas ennemi du colloque.

Mais, me direz-vous, si on en parle pour ne rien dire, de quoi

allons-nous parler ?

Eh bien, de rien ! de rien !

Car rien ... ce n'est pas rien

La preuve c'est qu'on peut le soustraire.

Exemple:

Rien moins rien = moins que rien!

Si l'on peut trouver moins que rien c'est que rien vaut déjà

quelque chose ! On peut acheter quelque chose avec rien !

En le multipliant

Un fois rien ... c'est rien

Deux fois rien ... c'est pas beaucoup !

Mais trois fois rien ! ... Pour trois fois rien on peut déjà acheter

quelque chose ! ... Et pour pas cher !

Maintenant si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien :

Rien multiplié par rien = rien.

Trois multiplié par trois = neuf.

Cela fait rien de neuf !

Oui ... ce n'est pas la peine d'en parler !

Bon ! Parlons d'autres choses ! parlons de la situation, tenez !

Sans précisez laquelle !

Si vous le permettez, je vais faire brièvement l´historique de la

situation, quelle qu'elle soit !

Il y a quelques mois , souvenez-vous la situation pour n'être pas

pire que celle d'aujourd'hui n'en n'était pas meilleur non plus !

Déjà nous allions vers la catastrophe nous le savions ...

Nous en étions conscients !

Car il ne faudrait pas croire que les responsables d'hier étaient

plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d'aujourd'hui !

Oui la catastrophe, nous le pensions, était pour demain !

C´est-à-dire qu'en fait elle devait être pour aujourd'hui !

Si mes calculs sont justes !

Or, que voyons-nous aujourd'hui ?

Qu'elle est toujours pour demain !

Alors je vous pose la question , mesdames et messieurs :

Est-ce en remettant toujours au lendemain la catastrophe que nous

pourrions faire le jour même que nos l'éviterons ?

Raymond Devos

mardi 25 décembre 2007

mardi 18 décembre 2007



Inchallah Aidkom mabrouk wnchallah rabbi yehykom lamthalou!!


dimanche 16 décembre 2007

réalité ou vérité

On vit cette réalite mais personne ne sait la vérité. Cette realité est un enfer mais la vérité est plus amère!!
alors que choisir???
je les ai supplié de se taire! j'ai versé toutes les larmes de mon corps, mais ils m'ont toisé de haut, ils m'ont laissé me debattre avec mes demons!
Dites moi que faire quand on broye du noir? Quand on se sent aussi seule, aussi délaissée?.
Quand on veut changer cette réalité mais que la vérité nous revient comme un boomerang au visage!! Que faire????

mercredi 12 décembre 2007

Une rose….

Aurais-tu peur de m’offrir une rose ?
Aurais-tu peur que t’aimer j’ose ?
N’aie pas peur
Ce n’est qu’une rose
Et t’aimer, je ne peux
Je n’ose
Je m’abstiens
Ceci est ma promesse
Même aux dépends de ma vie
Je tiendrais cette promesse.

mercredi 5 décembre 2007

il est fou!!! completement fou!

Des betises! encore des betises et rien que des betises, je peux le comprendre!
Mais le moins que je puisse dire c'est qu'en cette sombre nuit de décembre, il a perdu la tete!!
Pourquoi??? je n'en ai aucune idee!
Tout ce que je sais, c'est que je ne lui ai jamais vu un tel etat!!
L'epouser pour une soiree rien que pour avoir le baiser!!! euh ca peut passer!
Partir faire un jogging a 1h du mat passe encore mais quand le jogging est en tenue d'adam et bien la je n'en crois pas mes yeux!!
Prions juste que ses parents dorment deja, je crains le pire, Decembre ne fait que commencer apres tout!!!
en attendant la suite........

lundi 3 décembre 2007

Que me reste-t-il ?


Que reste-t-il de l’amour ?
Ces quelques souvenirs et
Ces doux vers d’un poème triste
Est-ce cela l’absolu d’une vie ?
Attendre et être à la souffrance asservi
La jeunesse qui se presse
Les longs jours sans tendresse
La solitude toujours aussi certaine
Les nuits d’insomnie qui ne confient pas leur peine
Comme toujours, je suis prête à rendre justice
Par des larmes stériles qui hâtent le supplice
J’y consens : je quitte l’amour et sa patrie
Et maintenant
Je suis cendre et réduite à l’oubli
Je l’avoue
Je suis déçue
Je suis déçue
Car ma solitude est mon seul dû